Un pied sec, intraitable, qui s'emballe rapidement, tout comme les cymbales, une pointe d'acidité s'ajoute, jusqu'au break déviant et farceur, avec son sample tout tordu et grésillant. Puis ça repart dans un martellement bruissant jusqu'à un mini break qui voit la disparition du sample, vers un final speed où le pied s'accentue légèrement et les samples sont raccourcis
Gate Off
Une espèce de breakbeat du fond du hangar démarre en boîtant, les autres sons s'ajoutent : semblant de mélodie grinçante, laseronium 1000, vent tourbillonant, squelette de rythmique. Le pied (un de ceux signature de M. Dubois) vient unifier tout ça dans une danse de farfadets post-apocalyptique, où l'un deux semble frotter les cordes d'une guitare désaccordée au fond d'un tunnel, pdt qu'un de ses comparses s'échine sur une porte métallique rouillée qui ne voudrait pas fermer, alors qu'une bête grondante se ramène. Le kick plein d'électricité statique finit par pilonner l'auditeur, qui voit son cerveau dévoré par cette boucle ivre !
Drunky Loop
Fuck you ! Puis direct le bass drum vient cogner, survient un bruit de barrissement cybernétique et des caisses claires tranchantes, avec de frénétiques cymbales. Les couches s'amoncellent, emplissant l'espace sonore. Ce morceau préfigure l'un de mes préférés de Speedyq's, Area Call 666. Construction et sons similaires, grosse énergie pour enflammer un dancefloor, création d'un effet spirale infernale. Un efficace DJ Tool.
Reactor [No Love Mix]
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire