jeudi 31 mars 2016

LAKESIDE - One Minute After Midnight (1978 Solar)

Quelques minutes avant 7 heures, alors que je filais déjà vers mon lieu de labeur, ce track de la bande de Dayton (Ohio) m'a donné le coup de fouet nécessaire pour garder les yeux ouverts et ne pas partir de travers.

Extrait de Shot Of Love 


lundi 28 mars 2016

PLAYLIST (et lecture) DE LAPIN QUI POND DES OEUFS


 A Pâques, ds une longue éclaircie pré-tempête, je m' décontracte et, post-repas de Gargantua, je pète.
Relâché, soulagé, et toi écoeuré, je poursuis ma lecture dévorante de THE AUTHORITY (par Ellis/Hitch, puis par Millar/Quitely), les oreilles caressés par de douces mélodies. Philou est ds le coin, pas loin... Quoique, pirouette, chemin, Tours en baskets, jardin ; le loustic explore le monde (et ses limites ?;)!) avec entrain, presqu'au top pour un we cool de fête.
Chaud cacao, cho, cho chocolat !!

ITAL TEK - Redeemer (2016 Planet µ - Extrait de Hollowed)



DERRICK MAY - Icon [Montage Mix] (1996/1997 Transmat)




LAMONT DOZIER - Why Can't We Be Lovers (1974 Invictus/Columbia - Extrait de Love And Beauty)



vendredi 25 mars 2016

J. STALIN - Jacka's Prayer (2015 Livewire / Empire)

Prod THA MEKANIX
Extrait de Tears Of Joy


dimanche 20 mars 2016

RAP & COMICS de fin de siècle


Depuis plusieurs mois (années peut-être ?!), je revisite entre autres le catalogue No Limit avec au détour d'une pochette endiamantée et de beats épileptiques produits à la chaîne (et je dis ça en notant aussi que je kiffe bien svt ces séries B au lourd parfum de weed et de sang), une vraie bonne surprise qui vient entrer en résonance lumineuse avec mes lectures du moment : tous ces comics de chez Image, Top Cow, CrossGen & co, signés LeeMcFarlane, Benitez, Daniel, Turner, Charest Capullo, Peterson et autres génies du crayon que j'ai ratés faute d'argent, faute de temps pour m'y intéresser et d'attention suffisante sur le moment (la drogue, la ziq et le sexe prenaient trop de place !!!). Bref un Retour Vers Le Futur bien de chez moi pour une sélection aux petits oignons qui va faire suinter tes moignons. Enjoi bitchon mignon !!

MO B. DICK, déjà super nom de scène, le gars appartient au team légendaire de Beats By The Pound, esclaves de Master P, qui a fondé une part de son succès sur leur sueur et en captant une bonne part de ce qui leur était dû... Gangsta Harmony (1999 No Limit) c'est un peu le G-Funk Classics de Nola, même si comme dit plus haut on est plutôt sur de la série B, alors que le double chef d'oeuvre de Nate Dogg est un foutu blockbuster. Ceci dit, Raymond E. Poole ne manque pas d'idée et de talent (sa façon de chanter sur certains tracks me rappelle Dam-Funk !) et il ne pète surtout pas plus haut que le cul rebondi des demoiselles qui veulent bien partager un moment chaleureux avec lui. Du rythm & gangsta minimaliste et sexy pour ton dimanche après-midi et + (c'est pourquoi je mets en lien l'album en intégrailté... Franchement agréable à écouter)



Twerk Some'm ft. SONS OF FUNK (Prod DEZ)


Smoke My Life Away (Prod Mo B. DICK)


FULL ALBUM !!!



Et maintenant, un extrait de On The Outside Looking In (1994 Suave House), second opus des Ducs de Memphis, les vétérans EIGHTBALL & MJG.

EIGHTBALL & MJG - No Sellout (Prod 8BALL/MJG/SMOKE O)


Pour terminer une autre figure mythique de la scène sudiste, le nain maléfique de Houston, Richard Shaw aka BUSHWICK BILL, incarnant un PHANTOM OF THE RAPRA (1995 Rap-A-Lot), réglant ses comptes avec l'ensemble de la planète sur du G-Funk tellement suave que tu ne peux que te demander "Mais pourquoi est-il aussi méchant ?" Et ça aussi ça rappellera des trucs à ceux qui ont traversé les 90's ds leur adolescence.
Funky nostalgia

BUSHWICK BILL - Time Is Hard (Prod MAD CJ MAC)



En bonuxXx final, en clin d'oeil à ce héros urbain, incarnation infernale des bas-fonds des cités et des tréfonds de l'âme humaine en repentir, qu'est le HELLSPAWN, un B(aby) G(angsta), extrait de l'album It's All On U vol. 1 (1997 Cash Money). L'un conte les aléas de la vie qd on réside ds un ghetto de la Nouvelle Orléans, l'autre expie ses crimes et protège les siens ds un New-York de l'oubli.
Crime In The City !

B.G. - "N" My City (Prod MANNIE FRESH)




Ecoute tôt
Lis tard

samedi 12 mars 2016

P.S.D. - Game Costs (1997 Swerve)


 En provenance de Vallejo ( you know...), Steve Davison a sorti son 1er opus solo sur Swerve, ce petit label indépendant qui a aussi hébergé Cydal, N2Deep, Mac Shawn, et Mac Dre pour un album.
Et cet objet sonore, dont je connaissais à peine l'auteur (qqs featurings sur des compils Thizz Ent, deux albums collab avec Keak et Messy Marv, vite faits écoutés), m'a vraiment ravi ces dernières semaines. Mob music deluxe que je porte à votre audition curieuse et votre attention raréfiée.

Every Damn Day ft. MAC LEE (Prod DAVE G)


The Ghetto (Remix) ft. MAC LEE (Prod DAVE G)


Bread Head (Prod PSD)


dimanche 6 mars 2016

ELOY x INFINITY


Lecture grandiloquente d'un space opera apocalyptique sur fond de prog rock à l'accent allemand, aux vertus psychédéliques certifiées.
Un beau voyage qui m'emmène haut depuis qqs semaines et particulièrement le we dernier...
Avis aux curieuses et curieux.
Pour ma part, je compte bien continuer à cheminer au travers de la discographie d 'Eloy (mené par Frank Bornemann), armé d'excellentes lectures (Black Summer, Superman Unchained, Weapon Zero...), pour une odyssée "good space life" de qqs we encore.
Et toi, plutôt soucoupe ou navette ?

ELOY - Land Of No Body (1973 Harvest/Emi Electrola - Extrait d' Inside)



ELOY - Ocean (1977 Harvest/EMI Electrola)



ELOY - Astral Entrance/Master Of Sensation (1979 Harvest/EMI Electrola - Extrait de Silent Cries And Mighty Echoes)